En posant la question : Faut-il voyager pour être heureux?, nous avons souhaité déranger le réflexe qui fait du voyage un incontournable ingrédient du bien-être. Les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la Covid-19 ont souligné le degré de notre dépendance au mouvement. Qui avait imaginé que le principe de mobilité serait à ce point contrarié ? Grâce à l’art contemporain, nous mobilisons la créativité pour éclairer le réel. Nous bousculons ainsi la part d’enchantement du voyage, souvent perçu comme un vecteur sans équivoque de connaissance, de dialogue et de développement. Nous tentons un exercice de lucidité.
En posant la question : Faut-il voyager pour être heureux?, nous avons souhaité déranger le réflexe qui fait du voyage un incontournable ingrédient du bien-être. Les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la Covid-19 ont souligné le degré de notre dépendance au mouvement. Qui avait imaginé que le principe de mobilité serait à ce point contrarié ? Grâce à l’art contemporain, nous mobilisons la créativité pour éclairer le réel. Nous bousculons ainsi la part d’enchantement du voyage, souvent perçu comme un vecteur sans équivoque de connaissance, de dialogue et de développement. Nous tentons un exercice de lucidité.
En posant la question : Faut-il voyager pour être heureux?, nous avons souhaité déranger le réflexe qui fait du voyage un incontournable ingrédient du bien-être. Les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la Covid-19 ont souligné le degré de notre dépendance au mouvement. Qui avait imaginé que le principe de mobilité serait à ce point contrarié ? Grâce à l’art contemporain, nous mobilisons la créativité pour éclairer le réel. Nous bousculons ainsi la part d’enchantement du voyage, souvent perçu comme un vecteur sans équivoque de connaissance, de dialogue et de développement. Nous tentons un exercice de lucidité.